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Concert de Stinky Hammers
17 juin 2023, 18h00 18h45
Après avoir créé l’ambiance en musique dès le premier jour, sur les quais devant le stand du Département, il est temps pour la collectivité de clore son propre festival d’artistes en devenir. Tous les styles auront été au rendez-vous : rap, pop, funk et ce sera le rock, qui aura le dernier mot ou plutôt le dernier riff de l’Armada avec le groupe dieppois des Stinky Hammers, programmé à 18h ce samedi 17 juin.
Quand Tom, officiant à la batterie, évoque la musique du quatuor, il insiste bien sur la diversité des influences et des goûts différents de chaque membre. « On fait un blues-rock assez atypique parce qu’on tente de varier les sonorités. Sur des chansons en anglais, on peut également passer d’une rythmique douce à des guitares saturées. C’est un grand mix avec, il est vrai, une base rock seventies incarnée jadis par Led Zeppelin, les Beatles et les Stones ». Preuve supplémentaire de cette ouverture d’esprit, Tom cite en exemple ses deux batteurs préférés, John Bonham (Led Zeppelin) et surtout, Buddy Rich, jazzman de légende et virtuose des baguettes. « Plus jeune, j’allais à Cléon avec mes parents, pour assister à de nombreux concerts à La Traverse. Je pense que ça transparaît dans mon jeu. J’écris pas mal aussi. Ça m’arrive de donner des mots au chanteur ou au guitariste et après on voit. D’autres fois, on commence à partir d’un riff. On ne se cantonne pas à une seule façon de faire. »
La priorité pour Tom, c’est la bonne humeur et le plaisir de se retrouver ensemble, que cela soit au sein du groupe ou face à un public. « On est des copains avant d’être des musiciens et on essaie d’apporter de la joie en partageant notre passion avec tous. On adore jouer à Dieppe devant des touristes anglais ou hollandais de passage, tout faire pour les accrocher et voir qu’ils restent nous écouter ». Œuvrant ensemble depuis dix ans, les Stinky Hammers ont la joie d’annoncer un heureux évènement : la sortie d’un album à la rentrée. « On est actuellement en phase de mix avec Franck Dhotel, un super ingénieur du son qui travaille au conservatoire de Lillebonne. À la fin de l’été, on aura des concerts prévus jusqu’à 2024. » Avant de partir prochainement à la conquête du public, il y a néanmoins une date importante à assurer, non loin de grands voiliers. « L’Armada représente un vrai truc pour nous, une consécration qui tombe la même année que notre sortie d’album. On va jouer la majorité de ses titres d’ailleurs. Des chansons qui parlent de liberté, du libre arbitre, de choses qui nous concernent au quotidien, comment voir le positif de la vie par exemple. » Dans le clip d’O’Brother, hommage du groupe au film du même nom réalisé par les frères Cohen, les musiciens sont déguisés en prisonniers d’époque. Les habits sont zébrés de rayures horizontales, un peu comme des marinières. Voilà qui augure du meilleur pour leur prestation sur la scène du stand départemental.
Après avoir créé l’ambiance en musique dès le premier jour, sur les quais devant le stand du Département, il est temps pour la collectivité de clore son propre festival d’artistes en devenir. Tous les styles auront été au rendez-vous : rap, pop, funk et ce sera le rock, qui aura le dernier mot ou plutôt le dernier riff de l’Armada avec le groupe dieppois des Stinky Hammers, programmé à 18h ce samedi 17 juin.
Quand Tom, officiant à la batterie, évoque la musique du quatuor, il insiste bien sur la diversité des influences et des goûts différents de chaque membre. « On fait un blues-rock assez atypique parce qu’on tente de varier les sonorités. Sur des chansons en anglais, on peut également passer d’une rythmique douce à des guitares saturées. C’est un grand mix avec, il est vrai, une base rock seventies incarnée jadis par Led Zeppelin, les Beatles et les Stones ». Preuve supplémentaire de cette ouverture d’esprit, Tom cite en exemple ses deux batteurs préférés, John Bonham (Led Zeppelin) et surtout, Buddy Rich, jazzman de légende et virtuose des baguettes. « Plus jeune, j’allais à Cléon avec mes parents, pour assister à de nombreux concerts à La Traverse. Je pense que ça transparaît dans mon jeu. J’écris pas mal aussi. Ça m’arrive de donner des mots au chanteur ou au guitariste et après on voit. D’autres fois, on commence à partir d’un riff. On ne se cantonne pas à une seule façon de faire. »
La priorité pour Tom, c’est la bonne humeur et le plaisir de se retrouver ensemble, que cela soit au sein du groupe ou face à un public. « On est des copains avant d’être des musiciens et on essaie d’apporter de la joie en partageant notre passion avec tous. On adore jouer à Dieppe devant des touristes anglais ou hollandais de passage, tout faire pour les accrocher et voir qu’ils restent nous écouter ». Œuvrant ensemble depuis dix ans, les Stinky Hammers ont la joie d’annoncer un heureux évènement : la sortie d’un album à la rentrée. « On est actuellement en phase de mix avec Franck Dhotel, un super ingénieur du son qui travaille au conservatoire de Lillebonne. À la fin de l’été, on aura des concerts prévus jusqu’à 2024. » Avant de partir prochainement à la conquête du public, il y a néanmoins une date importante à assurer, non loin de grands voiliers. « L’Armada représente un vrai truc pour nous, une consécration qui tombe la même année que notre sortie d’album. On va jouer la majorité de ses titres d’ailleurs. Des chansons qui parlent de liberté, du libre arbitre, de choses qui nous concernent au quotidien, comment voir le positif de la vie par exemple. » Dans le clip d’O’Brother, hommage du groupe au film du même nom réalisé par les frères Cohen, les musiciens sont déguisés en prisonniers d’époque. Les habits sont zébrés de rayures horizontales, un peu comme des marinières. Voilà qui augure du meilleur pour leur prestation sur la scène du stand départemental.